jeudi 25 décembre 2008

Les arbitres de Wikipédia sont des Jean-foutre !

Contestation du classement en non-recevable d'un arbitrage [modifier]

Je conteste formellement cette modification apportée par Gdgourou (d · c · b) sur la page Wikipédia:Comité d'arbitrage/Arbitrage, ce dimanche 21 décembre à 19:21 (CET), déclarant non recevable l'arbitrage visant Iluvalar, alors que, selon le règlement du comité d'arbitrage, et faute d'un constat de non-recevabilité antérieur à la limite des quinze jours – le 21 décembre à 09:25 (CET) –, l'arbitrage demandé est, de facto, recevable. Il s'agit clairement d'une manipulation du règlement du comité d'arbitrage.

J'attire l'attention des arbitres sur les mots ci-dessus de Pwet-pwet : « il vaut mieux attendre que tous les arbitres se soient prononcés, certains arbitres peuvent très bien avoir des arguments susceptibles de faire changer d'avis les autres »Hégésippe | ±Θ± 21 décembre 2008 à 19:52 (CET)


S'il s'agit de l'arbitrage me concernant, je ne comprends plus du tout. Et je m'interroge sur cet arbitrage déclaré recevable de facto. Que j'aie tardé (et tarde encore) à exposer mes arguments n'a pas semblé poser problème à plusieurs arbitres pour se prononcer sur la recevabilité, de même que mon retard pour écrire n'a pas empêché trois d'entre eux de donner leur avis alors que j'avais à peine commencé ma défense. Que l'argumentaire de Mica soit environ 10 fois plus long que la normale n'a soulevé aucune critique, ni le fait que Mica continue de l'augmenter au bout de plusieurs semaines. Que je sois littéralement noyée... au fond peu importe, il n'y a que moi que cela gêne. Et pour répondre à Ouicoude, ci-dessus : je n'ai pas écrit des "tartines" à "chaque" personne dans la PdD, sans quoi celle-ci serait gigantesque. Mais il est vrai que ce triple arbitrage déguisé en un seul m'a incitée à accorder de l'importance à cette PdD, et sans doute à m'y égarer. Si c'était le but, tant mieux. C'est réussi. Il ne me reste plus qu'à espérer que le quatrième et dernier arbitre (un CAr avec 4 arbitres : génial, là encore) aura la patience d'attendre encore un peu. De toute façon, le mal est fait. L'entreprise de démolition a parfaitement fonctionné. Addacat (d) 21 décembre 2008 à 21:47 (CET)
Ouicoude ne faisait pas référence à cet arbitrage. Pwet-pwet · (discuter) 21 décembre 2008 à 22:06 (CET)
Non cela concerne celui entre Hégésippe et Iluvalar. --GdGourou - Talk to °o° 21 décembre 2008 à 21:58 (CET)
@ Gdgourou : la question n'est pas là : la non recevabilité de cet arbitrage n'a pas été constatée avant l'échéance du délai de quinze jours, donc, si l'on ne passe pas par pertes et profits le règlement du comité d'arbitrage – ce ne sera jamais que la deuxième fois en moins d'un mois qu'il sera ouvertement violé par l'un de ceux qui, officiellement, sont censés s'y conformer –, et notamment l'article 4 alinéa 3, cet arbitrage est réputé recevable. Le règlement du CAr est clair et précis. Cessez de faire porter à autrui vos propres fautes et insuffisances. Si vous n'êtes pas capables, en l'espace de quinze jours, de faire ce qu'il y a à faire, cessez de vouloir vous ériger en juges et législateurs au sein de la communauté. Celle-ci a voté, en plusieurs fois, un règlement, qui s'impose à tout le monde, y compris aux membres du comité d'arbitrage, qui ne deviennent pas, par la magie de leur élection, des contributeurs au-dessus des autres qui peuvent faire ce que bon leur semble. Ce classement postérieur au délai de quinze jours est tout à fait irrégulier. Comment voulez-vous que les fâcheux respectent les décisions du comité d'arbitrage si, vous-mêmes, n'êtes pas capables de respecter votre propre règlement ? J'ajouterai que, si cette prétendue majorité de cinq arbitres existait, c'est dès le 7 décembre que la non recevabilité aurait dû être constatée, et pas quatorze jours après : le fait que la requête ait continué à courir pendant deux semaines est bien une preuve que la décision de non recevabilité n'existait pas, et qu'il n'y apas plus de raison aujourd'hui pour qu'elle existe davantage. Cette action de clôture, en dehors du délai imparti, est une violation caractérisée et délibérée du règlement du comité d'arbitrage. Hégésippe | ±Θ± 21 décembre 2008 à 22:19 (CET)
Désolé mais pour moi 6 décembre + 15 jours = 21 décembre. Donc ce jour. --GdGourou - Talk to °o° 21 décembre 2008 à 22:34 (CET)
Tous les moyens sont bons pour obtenir, coûte que coûte, une décision qui vous convienne, à ce que je vois. Quinze jours après le 6 décembre à 09:25 (CET), ça nous conduit, pour considérer l'arbitrage comme étant automatiquement receavle faute de décision contraire des arbitres antérieure à ce délai, au 21 décembre à 09:25 (CET), pas le même jour mais dix heures plus tard. Le règlement du CAr parle de quinze jours, pas de quinze jours et dix heures... Hégésippe | ±Θ± 21 décembre 2008 à 23:41 (CET)

Je lis aussi dans le règlement intérieur : « Cette précision de non-participation doit figurer en haut de la page d'arbitrage à la rubrique "Arbitre(s) ne participant pas à cet arbitrage :". ». Cette rubrique étant absente de la page d'arbitrage, j'en déduis que la majorité absolue et relative sont la même ici. Moyg hop 21 décembre 2008 à 23:03 (CET)
Cette section "arbitres ne participant pas", qui n'est pas présente sur plusieurs arbitrages récents (Wikipédia:Comité d'arbitrage/Arbitrage/Vol de nuit-AmateurdhistoireWikipédia:Comité d'arbitrage/Arbitrage/Mica-Addacat, par exemple) semble maintenant avoir disparu (a-t-elle existé?) au profit d'une simple indication (nom barré) dans la section "arbitres participants à cet arbitrage", qui elle a toujours été remplie uniquement lorsque l'arbitrage a été déclaré recevable (voir Catégorie:Arbitrage non recevable pour voir que dans les arbitrages non-recevables, la partie du haut n'est jamais remplie). Mais par ailleurs, il me semble qu'il faudrait revoir ce règlement intérieur qui s'embrouille dans les détails procéduriers. Sur ce, moi je retourne lire les arguments de Wikialine. Pwet-pwet · (discuter) 21 décembre 2008 à 23:23 (CET)
Vous êtes sûrs que cela ne me concernait pas ? Addacat (d) 21 décembre 2008 à 22:16 (CET)
Le dernier arbitrage en cours n'est pas celui où tu es impliquée. Pwet-pwet · (discuter) 21 décembre 2008 à 22:20 (CET)
Bonsoir Hégésippe,
Quand tu dis « ...ce ne sera jamais que la deuxième fois en moins d'un mois qu'il sera ouvertement violé par l'un de ceux qui, officiellement, sont censés s'y conformer », tu parles de la décision de recevabilité de l'arbitrage Mica-Addacat, je suppose ? Alors, c'est un peu exagéré car la première fois, le viol n'a pas eu lieu, si je puis m'exprimer ainsi, au final l'arbitrage a été déclaré recevable. Pour le reste, tu as techniquement raison. Sauf quand même que les arbitres ne s'érigent pas en juges; ils ont été élus. Bonne nuit. Sourire Musicaline [Wi ?] 21 décembre 2008 à 22:57 (CET) Si quelqu'un veut bien corriger l'indentation, c'est pas de refus, j'y arrive pas
Ce n'est pas du tout à cela que je faisais allusion, mais aux conditions irrégulières du remplacement « temporaire » de Dereckson, alors que le règlement du comité d'arbitrage ne prévoit pas de remplacement « temporaire », mais uniquement définitif. Hégésippe | ±Θ± 21 décembre 2008 à 23:36 (CET)
Hum, d'une part on ne peut pas violer une règle qui n'existe pas encore (le remplacement temporaire n'est pas (encore) prévu par le réglement, et d'autre part, il me semble que la solution prise par les arbitres a été malgré tout approuvée - a posteriori, je l'admets, mais approuvée quand même - par une majorité de contributeurs, ce qui paraît indiquer qu'elle n'était pas si mauvaise que ça. D'autre part, je n'avais pas tilté hier soir, mais tu dis aussi que le réglement du CAr est clair et précis... Si c'était vraiment le cas, on ne se retrouverait pas dans des situations comme celle-ci. La formule « Dans le cas où les arbitres ne se sont pas prononcés sur la recevabilité d'une demande dans les quinze jours de sa date d'inscription... » est particulièrement imprécise : les arbitres, quels arbitres ? Tous les arbitres élus ? Tous les arbitres présents sur WP à la minute où le délai de 15 jours est écoulé ? Tous les arbitres qui se sont prononcés ? Tous les arbitres en mesure de se prononcer ? Au cas où, je rappelle qu'un des principes de base du droit (puisqu'on a l'air de se diriger sans coup férir vers une judiciarisation de plus en plus accentuée du CAr) est qu'aucune loi ne peut avoir d'effet retroactif. Si un point n'est pas prévu par la loi et qu'il est ensuite introduit, on ne peut faire grief a posteriorià celui qui n'appliquait pas ce point avant que la loi ne soit modifiée ou précisée. Dans le cas qui nous occupe, reste la question du délai, où tu as techniquement raison (15 jours, ce n'est pas 15 jours et 10 heures) mais où lâcher un peu de lest ne serait peut être pas inutile (a parte : Comme le fait remarquer Iluvalar ci-dessous, à quoi te sert d'insister pour que cet arbitrage soit déclaré recevable alors que cinq arbitres sont contre, qu'en t'opposant à eux dans des termes peu amènes, tu ne les prédisposes pas en ta faveur et que par dessus tout, tu sembles persuadé qu'ils sont loin d'être impartiaux et même prêts à te donner tort par préjugé afin de conserver leur pouvoir. C'est tendre la corde pour te faire pendre. A moins qu'au fond tu n'estimes exactement le contraire sans vouloir le reconnaître ou que tu ne commettes là un WP:Point. Oui, je m'interroge, et ce n'est pas une agression, juste un questionnement), parce que les contributeurs (arbitres compris) de Wikipédia sont bénévoles et qu'à ce titre on ne peut exiger d'eux qu'ils y consacrent leurs jours et leurs nuits (simple bon sens, il y a une différence entre contribution et sacerdoce). De plus, ce type d'erreur pourrait être évité à l'avenir par des mesures pratiques telles que la nomination d'un ou plusieurs arbitres coordinateurs (cf : la section initiée par Hadrien plus haut dans cette page) responsables de veiller à la tenue des délais, voire même - soyons fous (j'y connais rien en informatique)- à l'aide d'un robot qui émettrait un avis d'alerte à J-1 (A mon boulot, on a des systèmes informatiques qui sont capables de calculer automatiquement une échéance et de signaler qu'on s'en approche. Evidemment, encore faut-il qu'un être humain soit présent pour voir l'alerte...). Sur ce, faut que j'y aille ! Désolée pour la tartine Sourire et bonne journée à tout le monde. Musicaline [Wi ?] 22 décembre 2008 à 08:13 (CET) Tiens, j'avais pas vu, c'est quoi une complice objective ? Mort de rire Mais faut dire que je harcèle aussi Iluvalar sur sa page de discussion dès que j'ai une minute de libre. Mort de rire C'est pas bien raisonnable tout ça, sérieusement, Hégé, si tu n'existais pas, il faudrait t'inventer. Sourire Musicaline [Wi ?] 22 décembre 2008 à 08:47 (CET) PS : Je me trompe, ou Gdgourou est un arbitre débutant ?
Hégésippe, tu semble oublier qu'il n'y a aucune règles, aucune recommandation, aucun essai qui sont écrits sur Wikipédia pour être appliqués à la lettre. C'est le 5e principe fondateur même. Je ne vois plus trop où tu veux en venir, mais si tu veux te pencher sur l'essence même du règlement, je veux bien te rapporter au premier extrait : « Il y a 10 arbitres. Ils sontélus pour un an ». La question est alors : quel point doit-on ignorer pour satisfaire cette exigence ? Que faire lorsqu'on s'aperçoit qu'il n'y a plus tout à fait 10 arbitres ? Je crois que la décision des arbitres est donc la bonne. Dereckson est bien celui qui a été élu, mais il n'est pas là présentement. Alors OK pour le remplacer temporairement puisqu'ils doivent être 10. Quel est le véritable ennuis ? Dereckson ne serait plus apte à occuper le poste ? Tu préfère ignorer le fait qu'il doit y avoir 10 arbitres ? Nous sommes tous conscient que le règlement n'est plus appliquer à la lettre (c'est impossible). Alors ? Une proposition ?
Pour ce qui est de notre CaR, je n'ai fait que remarquer qu'il y avait un consensus et une majorité (faible j'en convient). Maintenant je m'en remet au bon jugement des arbitres pour décider de cette fâcheuse circonstance. Peut-être pourrais-tu en faire autant ? Je ne vois pas d'ailleurs l'utilité d'insister pour un arbitrage dans lequel une majorité d'arbitres trouve qu'il est non-recevable (ça doit bien être la raison pour laquelle il y a ce vote en premier lieux...). Iluvalar (d) 22 décembre 2008 à 01:30 (CET)
@ Iluvalar : la question n'est pas là, mais dans l'absence de clôture de l'arbitrage dans un délai strict de quinze jours après son dépôt, ce qui, aux termes de l'article 4 alinéa 3 du règlement du CAr, rend la demande « réputée recevable ». Annexe de cette question : de quel droit l'arbitre Gdgourou se permet-il de contourner une règle claire, votée par la communauté, mais qui n'a pas l'heur de lui convenir ? Est-il devenu, par la magie de son élection au CAr, un contributeur dégagé de l'obligation de se soumettre au règlement du comité d'arbitrage ?
« Nous sommes tous conscient que le règlement n'est plus appliquer à la lettre (c'est impossible). » : alors faites une prise de décision, à article unique : « Les arbitres ne sont plus tenus de se conformerf au règlement du comité d'arbitrage. » Ce sera moins hypocrite que ces violations répétées du règlement par tout ou partie des membres de cette instance.
Pendant ce temps-là, il n'y a toujours aucune reconnaissance collective (que ce soit par le CAr, qui serait l'instance la plus propre à le reconnaître, ou encore sur le bulletin des administrateurs ou au PC de la caserne des wikipompiers) du principe que, s'agissant d'un conflit interne à un projet extérieur à Wikipédia, les wikipompiers n'ont pas lieu d'utiliser l'interface des wikipompiers de Wikipédia pour assurer un suivi, sur Wikipédia, de ce conflit. Merci au passage de ne pas me faire de rappel au règlement et aux principes fondateurs, quand vous-même vous permettez de piétiner allègrement la réalité en refusant de reconnaître clairement que Wikinews étant un projet totalement indépendant de Wikipédia, vous n'aviez absolument pas lieu de rouvrir sur Wikipédia un feu qui n'a jamais concerné Wikipédia. Quoiqu'il arrive, votre abus d'usage de votre position de wikipompier demeurera. Hégésippe | ±Θ± 22 décembre 2008 à 09:13 (CET)

samedi 29 novembre 2008

Une immortelle pour les petits anges

Dès sa première candidature, Simone Veil a été élue jeudi à l’Académie française. Avec 22 voix recueillies sur 29 votants dès le premier tour, elle va occuper le siège de Pierre Messmer, décédé en août 2007. Les sept autres bulletins étaient 5 papiers blancs et 2 blancs marqués d’une croix. Les autres candidats n’ont reçu aucun suffrage. Son élection à l’Académie française a scandalisé l’association pro-vie Laissez-les vivre, dont plusieurs dizaines de membres ont manifesté dans l’après-midi à quelques centaines de mètres du quai Conti. (AFP)

Certes, elle est élue dès le premier tour, avec 22 bulletins comportant son nom, sur 29 académiciens ayant pris part au vote (neuf autres étant apparemment absents et deux sièges étant vacants). Mais il y a aussi eu cinq bulletins blancs et deux bulletins marqués d'une croix (ce qui signifie un signe d'indignité de la postulante) 

Deux académiciens ont donc eu le courage de marquer de la croix d'infamie celle qui est responsable depuis 1975 de la disparition de plus de 8 millions de Français innocents.
Simone Veil, le 27 février 2008 lors d'une réunion publique à Paris
Cliché original sous licence Creative Commons Paternité 3.0 Unported.
© Marie-Lan Nguyen (Jastrow)
Cliché, recadré, réduit et modifié par mes soins


L’association Laissez-les-vivre souligne que « cette ignominie se déroule le jour anniversaire de la signature de la convention européenne des droits de l’enfant ».

« Il nous paraît impossible de ne pas crier publiquement notre indignation vis-à-vis de celle qui a organisé l’extermination légale de HUIT MILLIONS d’enfants depuis 34 ans. En accordant cette nouvelle dignité à Mme VEIL, l’Institut de France se déshonore en insultant la nation. »

dimanche 26 octobre 2008

Le CAR de wikipédia doit disparaitre

J'estime que le Comité d'arbitrage devrait réviser au plus vite sa décision, que je trouve totalement illégitime voire illégale sur ce point, puisque les arbitres ont en quelque sorte inventé une règle communautaire, ce qui ne figure pas dans leurs attributions. Je pense d'ailleurs, et là je ne suis pas dans le mode inyterrogatif prudent des deux autres contributeurs, que les quatre arbitres qui ont voté (ou ne se sont pas opposés) cette prétendu rappel devraient, dans le cas où ils refuseraient de réviser cette décision dans les plus brefs délais, être démis de leurs fonctions au sein du CAr, pour abus de pouvoir. Plus le temps passe, plus le comité d'arbitrage se mue, dans les faits, en comité arbitraire. Hégésippe ±Θ± 25 octobre 2008 à 02:12 (CEST)

Bien entendu, cette péripétie renforce mon opposition frontale à l'existence du comité d'arbitrage, qui s'est par exemple manifestée dans mes derniers votes qui traduisaient tout, sauf la confiance dans cette institution malfaisante. Hégésippe ±Θ± 25 octobre 2008 à 02:16 (CEST)
Incidemment, cette ligne aberrante concernant Moez, dans la décision du CAr, risque d'avoir une fâcheuse conséquence : tout admin qui demande l'avis de ses collègues, sur le BA, à propos d'une sanction à appliquer, se verra interdit de l'appliquer lui-même, puisqu'il ne manquera pas de bonnes âmes pour rappeler l'avis du CAr et pousser ensuite à la roue dans le sens de l'impuissance des admins... Hégésippe ±Θ± 25 octobre 2008 à 03:14 (CEST)

Pas de discussions oiseuses : le Comité d'arbitrage n'a pas lieu d'inventer, de manière explicite... ou pas, de règles qui, jusque-là, n'avaient aucune existence. Rien ne justifie que les arbitres aient inclus dans leur décision la ligne « [le Comité d'arbitrage] rappelle à Moez (d · c · b) qu'il ne doit pas appliquer une sanction qu'il a lui-même proposée, quand le cas nécessite une discussion au bulletin des administrateurs ». Cette partie de la décision est nulle et non avenue et doit donc être purement et simplement annulée, sauf à entacher de nullité l'ensemble de la décision d'arbitrage. Mais si c'est ce que certains désirent, c'est pleinement réussi. Personne n'obligeait les quatre arbitres à voter cet élément ahurissant. Hégésippe ±Θ± 25 octobre 2008 à 11:54 (CEST)

Je préfèrerais surtout que le CAr cesse d'inventer des règles, comme dans le cas présent (ou comme dans un autre cas dont j'ai un souvenir particulièrement cuisant, en octobre 2006, lorsqu'il imposa une consultation communautaire qu'il n'était pas en droit de prescrire...) Une institution qui, comme le fait le CAr, augmente ses prérogatives petit à petit (on en trouvera peut-être d'autres exemples, en cherchant bien), est malsaine. Ce serait le devoir de chacun des arbitres que d'en prendre conscience individuellement, ce qui permettrait déjà de limiter ces dérives insensibles. Hégésippe ±Θ± 25 octobre 2008 à 12:20 (CEST)

dimanche 7 septembre 2008

Henry Coston, un homme de conviction

Henri Georges Coston, dit Henry Coston[1], né à Paris le 20 décembre 1910 et mort à Caen (Calvados) le 26 juillet 2001, était un journaliste, éditeur, publiciste et militant d'extrême droite français. Il était marié à Gilberte Coston (née Borie

Après des études au collège de Villeneuve-sur-Lot, il voit à 16 ans sa famille ruinée par la crise économique de 1926 : il travaille alors comme employé de banque ainsi qu'au journal monarchiste de Toulouse (L'Express du Midi)[2], tout en animant celui de l'Action française à Villeneuve-sur-Lot. En 1928, le jeune journaliste fonde La Contre-Révolution, revue antisémite, anticommuniste, antimaçonnique et opposée aux sociétés secrètes en général. En 1930, il crée les Jeunesses anti-juives, puis le journal La Révolte ouvrière avec notamment Henry Charbonneau[2]. Après l'accession au pouvoir d'Hitler en 1933, Coston effectue plusieurs voyages outre-Rhin, ce qui lui vaudra de violentes attaques dans L'Action française[3], germanophobe depuis ses débuts.

Avec la collaboration de Jacques Ploncard d'Assac, d'Albert Monniot, du Docteur Molle et de Jean Drault, il fonde en 1930 le Parti national populaire, puis soutient le Francisme de Marcel Bucard en 1933, auquel il propose d'intégrer la Libre parole. Bucard refusant son antisémitisme virulent[4], Coston participe à la création du Front national ouvrier paysan, également appelé « Les Francistes » (par opposition aux francistes de Bucard) : un parti d'inspiration fasciste[5], dont la doctrine est « proche du national-socialisme allemand[6] », qui est dissous en 1934. Par la suite, il fut membre du Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot, où il était chargé des services de renseignement[7].

Coston fut à partir de 1934 le correspondant français de la Weltdienst[7], centre allemand de propagande antijuive basé à Erfurt et dirigé par Ulrich Fleischhauer, qui l'aurait considéré comme l'un des siens[8],[9]. Un an plus tard, il est reçu avec sa première femme, Maria del Rosario[7], par le gauleiter de Franconie, Julius Streicher[10], lors du Reichsparteitag de 1935.
Antisémite doctrinaire, Coston se réclame d'Édouard Drumont au point de relancer La Libre parole, le journal créé par le pamphlétaire anti-juif durant les années 1890, finalement interdite par le décret de Paul Marchandeau du 21 avril 1939[11]. Paradoxalement, durant l'Occupation, les autorités allemandes lui refuseront, en février 1941, l'autorisation de faire reparaître La Libre parole, demande qu'il avait faite par l'intermédiaire de Bernard Faÿ, désigné par l'ambassadeur allemand Otto Abetz comme un de ces « grands bourgeois réactionnaires [qui] voulaient imposer à la France la dictature du sabre et du goupillon[12] ».
Il part en Algérie pour tenter de se faire élire – sous l'étiquette « candidat antijuif d'Union latine » – député d'Alger à l'occasion des élections législatives d'avril 1936 mais est battu[13]. Il revient en France où il crée plusieurs petites maisons d'édition antisémites et antimaçonniques, publie quelques romans policiers (portant pour la plupart sur la franc-maçonnerie, comme L'affaire Dargence), puis rompt avec son collaborateur Henri-Robert Petit, qu'il accuse d'avoir mal géré son fonds documentaire durant son séjour en Algérie et de lui avoir volé de l'argent[10].

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est vice-président de l'Association des journalistes anti-juifs. Appelé par Jean Drault, il devient secrétaire de rédaction du quotidien collaborationniste La France au travail, qui atteint 180 000 exemplaires en août 1940[2]. En 1940, son nom figurait parmi ceux des quelques membres du Parti national-socialiste français de Christian Message[14].
Chargé par le maréchal Pétain de travailler sur la franc-maçonnerie avec Bernard Faÿ, il fonde en 1941 le Centre d'action et de documentation, centre s'occupant des problèmes raciaux, de propagande antisémite et d'information antimaçonnique[15], le Bulletin d'information anti-maçonnique, puis le Bulletin d'information sur la question juive. En 1942, il compte parmi les fondateurs de la Commission d'études judéo-maçonniques du lieutenant SS Moritz[16] et il est le président des admissions au Cercle aryen.
En 1943, Coston est décoré de l'ordre de la francisque et publie avec George Montandon la brochure du Cahier Jaune intitulée : Je vous hais[17], dont le titre est une allusion à une réplique attribuée à Léon Blum lors d'une intervention à la Chambre[18] et dans laquelle on peut lire une apologie des camps de concentration[19]. L'année suivante, il publie avec Albert Simonin Le Bourrage de crâne[20]. Trahi et arrêté en Autriche en 1946, il est poursuivi en 1947 pour faits de collaboration, puis injustement condamné l'année suivante aux travaux forcés à perpétuité ; sa femme, Gilberte, étant également incarcérée plusieurs mois. Il bénéficie en 1951 d'une grâce médicale puis est enfin gracié définitivement en 1955.

Coston fonde la revue Lectures françaises avec Michel de Mauny et Pierre-Antoine Cousteau. Il reprend ses activités éditoriales antimaçonniques et antisémites tout en modifiant leur forme, sans renier ses convictions antérieures[21]. Il écrit également dans Jeune Nation, Défense de l'Occident, Carrefour, L'Écho de la presse et de la publicité, Europe-Action[22] puis, plus tard, dans Présent et National-Hebdo.
Il fit la connaissance d'Alain de Benoist grâce à sa fille, Micheline Vallée, qui le rencontra en vacances du côté de Dreux, autour de ses 14 ans, ce qui lui permit de signer un peu plus tard ses premiers articles politiques dans Lectures françaises sous le pseudonyme de Cédric de Gentissard[23].
Directeur littéraire de la Librairie française, fondée en 1952 par Gilberte Coston et qui, à partir de 1954, se transforma peu à peu sous son impulsion en maison d'édition et de diffusion[24], il vendit celle-ci à Jean-Gilles Malliarakis en 1976.
Ami intime de Paul Rassinier, qu'il aurait perçu, avec Maurice Bardèche, comme une « double caution politique et historique[25] », éditeur de ce dernier[26], il publia plusieurs de ses articles dans Lectures françaises[25]. Henry Coston, qui n'était pas un théoricien[27], mais un promoteur du négationnisme[28], considérait que « les excès abominables survenus pendant la guerre ont transformé l'antisémitisme en bourreau, et c'est cette signification qui est aujourd'hui seule retenue[29] ».
Ses écrits concernent notamment ce qui formerait la mainmise des franc-maçons et de la « haute finance » sur la politique et la presse françaises. À la sortie du Retour des 200 familles[30], Le Canard enchaîné écrivit que « le de-cujus [Coston] est presque toujours remarquablement informé, ses dossiers sont presque toujours sérieux et il a le mérite de ne pas faire parler de lui. Pour cause que la grande presse, de droite et de gauche, n’accepte jamais, pour ainsi dire, de mentionner l’existence de ses bouquins[31] », le présentant peu après comme « un tantinet fasciste sur les bords, fortement pétainiste, un soupçon antisémite[32] ». Dans Infiltrations ennemies dans la droite nationale et populaire, publié en 1999, Coston prétend qu'une infiltration de la franc-maçonnerie, notamment de la Grande Loge nationale de France (GLNF), constitue la cause de la scission du Front national[33].
Coston est l'auteur d'un volumineux Dictionnaire de la politique française en plusieurs tomes, publié à compte d'auteur, qui présente les principaux acteurs (revues, mouvements, partis, idéologies, clubs, loges maçonniques) des droites et des gauches françaises au XXe siècle. Souvent cité, il est reconnu comme un ouvrage au contenu fiable
Cet auteur aux multiples pseudonymes — dont « Georges Virebeau », du nom de la propriété où il a passé son enfance, « Saint-Pastour » ou l'« Archiviste Jérôme » — meurt en juillet 2001, ayant à peine commencé l'écriture de ses mémoires en trois tomes[36], et lancé une nouvelle publication, Nous les Françaises. Il est inhumé au cimetière francilien de Bagneux (Hauts-de-Seine).
Yann Moncomble[37] et Emmanuel Ratier[38] ont pu être considérés comme les « successeurs » de Coston par leurs activités d'archivistes de la politique et leurs écrits conspirationnistes.

Œuvres (non exhaustif)

Sous le nom d'Henry Coston
(dir.), Dictionnaire de la politique française, tome 1, Paris, Publications Henry Coston, 1967, 1087 p.
(dir.), Dictionnaire de la politique française, tome 2, Paris, Publications Henry Coston, 1972, 782 p.
(dir.), Dictionnaire de la politique française, tome 3, Paris, Publications Henry Coston, 1979, 742 p.
(dir.), Dictionnaire de la politique française, tome 4, Paris, Publications Henry Coston, 1982, 735 p.
(dir.), Dictionnaire de la politique française, tome 5, Paris, Publications Henry Coston, 2000, 525 p.
Les francs-maçons célèbres, La Libre parole, 1934
Le Bourrage de crâne : comment la presse trompait l'opinion, CAD, 1943 (en collaboration avec Albert Simonin)
Je vous hais, Le Cahier Jaune, 1944 (en collaboration avec George Montandon)
L'ABC du journalisme. Cours élémentaire en 30 leçons, Clubinter-presse, 1952 (en collaboration avec Gilberte Coston)
Les Financiers qui mènent le monde, Librairie française, 1955, réédité et illustré par Chard, 1989
Tu seras journaliste !, La Librairie française, 1955 (en collaboration avec Gilberte Coston)
Antoine de Rivarol et l'émigration de Coblence, 1956. Réédition, Publications Henry Coston, 1996
La Franc-Maçonnerie gouverne, Lectures Françaises, 1958
Les Mystères de la franc-maçonnerie, Lectures françaises, 1958
La haute banque et les trusts, Librairie française, 1958
François Mitterrand ou cet homme est dangereux, Lectures françaises, novembre 1958
Daniel Mayer ou « Je vous hais ! », Lectures françaises, 1958
Partis, journaux et hommes politiques d'hier et d'aujourd'hui, Lectures françaises, décembre 1960
Le Retour des 200 familles, La Librairie francaise, 1960
Le Journalisme en trente leçons, La Librairie française, 1960 (en collaboration avec Gilberte Coston)
Les Technocrates et la synarchie, Lectures françaises, 1962
L'assemblée introuvable : le trombinoscope de la Ve bis, Michel de Mauny, 1963
L'Europe des banquiers, Documents et témoignages, 1963
La Haute Finance et les révolutions, Lectures françaises, 1963
La République du Grand Orient. Un État dans l'État, Lectures Françaises, 1964
Le Livre Noir de l'épuration, Lectures Françaises, 1964
La France à l'encan, Lectures Françaises, 1965
Le Secret des dieux, Lectures françaises, 1968
Onze ans de malheur — 1958-1969, Lectures Françaises, 1970
Dictionnaire des dynasties bourgeoises et du monde des affaires Paris, Editions Alain Moreau, 1975, 599 p.
Les Causes cachées de la Deuxième Guerre mondiale, Lectures françaises, 1975
Les 200 familles au pouvoir, H. Coston, 1977
La conjuration des Illuminés, publications Henry Coston, 1979
Ce qu'il faut savoir quand on publie un livre, Henry Coston, 1983, (ISBN 2904903003)
La Fortune anonyme et vagabonde,Coston, Paris, 1984
Le Veau d'or est toujours debout, Publications H.C., 1987
Ceux qui tirent les ficelles de la politique et de l'économie mondiale, Publications H.C., 1992
La Guerre de cent ans des sociétés secrètes, publications Henry Coston, 1993
Le traquenard européen de Jean Monnet : l'Europe qu'on nous fabrique est celle des banques et des trusts, éd. Henry Coston, Paris, 1993
La « Trahison » de Vichy, 1940, Publications H.C., 1993
L'Argent et la Politique, Publications H.C., 1994
Non ! L'écologie n'est pas de gauche, Publications H.C., 1995
Tous pourris !, Publications H.C., 1995
L'âge d'or des années noires. Le cinéma arme de guerre ?, Publications H.C., 1996
Signé : Drumont, Publications H.C., 1997
Encyclopédie des pseudonymes (tome 2, avec Emmanuel Ratier), Faits & Documents, 1994
Infiltrations ennemies dans la droite nationale et populaire, 1999
Henry Coston présente les Francs-Maçons sous la Francisque, Publications H. Coston, 1999, (ISBN 290490316X)

Sous le pseudonyme de Georges Virebeau
L'affaire Dargence, Éditions littéraires et artistiques (non daté)
Algerusalem, La libre Parole (non daté)
Quand Finaly est roi, La libre Parole, 1934
Les Juifs et leurs crimes, 1938
Pétain toujours présent (avec Jacques Isorni), 1964
Infiltrations ennemies dans l'église (avec Léon de Poncins, Édith Delamare, Jacques Bordiot, Gilles de Couessin), 1970
Les Papes et la Franc-maçonnerie, Publications Henry Coston, 1977
Prélats et francs-maçons, Publications Henry Coston, 1978
Mais qui gouverne l'Amérique ? Publications Henry Coston, 1991
Les Mystères des Francs-maçons, Publications Henry Coston, 1994
Les communistes et la Deuxième Guerre mondiale : des documents oubliées, Publications Henry Coston, 1995

Autres pseudonymes
L'Archiviste Jérôme, Dictionnaire des changements de noms, tome I, 1803-1956, Documents et Témoignages, 1957
L'Archiviste Jérôme, Dictionnaire des changements de noms, tome II, 1957-1962, Documents et Témoignages, 1962
L'Archiviste Jérôme, L'Ordre de la Francisque, Publications H.C, 1987
Saint Pastour, La Franc-Maçonnerie au Parlement, Documents et Témoignages, 1970
Saint Pastour, Les Francs-Maçons dans la République, 1991

dimanche 31 août 2008

Mise au point

Mise au point : ce contributeur n'est aucunement responsable du faux « blog d'Hégésippe Cormier » hébergé par Over-Blog, plate-forme appartenant à la société JFG Networks, dont le capital est détenu à hauteur de 26 % par TF1.

Les employés d'Over-Blog, dument prévenus à plusieurs reprises de l'usurpation, refusent d'agir contre le perturbateur, par ailleurs auteur de nombreuses usurpations d'identité, falsifications, vandalismes, calomnies diverses, menaces physiques contre des contributeurs, etc.

Le questionnaire de Proust

Petit Questionnaire de Proust, rédigé à l'aide d'un de mes amis :

Quel est votre livre préféré Monsieur Hégésippe Cormier ?
Il n’y en a évidemment pas qu’un seul, ma bibliothèque est très éclectique.Parmi mes inclinations littéraires il y a «Cyrano de Bergerac» d’Edmond Rostand, «Mort à Crédit» de Louis Ferdinand Céline, «La Police Politique» de Léon Daudet, «Vu de Droite» d’Alain de Benoîst, «Le Banquet des Léopards» d’Alphonse Boudard, les grands dialoguistes du cinéma français comme Michel Audiard, Janson, Jacques Prévert. Les auteurs de science-fiction américains comme Philip K. Dick, Théodore Sturgeon et tous les livres d’H.P. Lovecraft.Ma plus grande émotion littéraire reste «La légende des Siècles» de Victor Hugo.

Quelle est votre activité préférée Monsieur Hégésippe Cormier ?
Je dois reconnaître que j’adore regarder la télévision. J’aime aussi ne rien faire. M’occuper de mes chats. Bref, je suis assez casanier.

Qui admirez-vous le plus préféré Monsieur Hégésippe Cormier ?
Celles et ceux qui mettent leur vie au service d’une vision du monde.En histoire j’épinglerai sans hésiter Charles Martel et Isabelle la Catholique.J’ai également le plus grand respect pour les réformateurs au sein du FN. Ceux-ci n’ont pas tenu compte de leurs intérêts personnels pour agir. Pour moi, c’est de l’héroïsme.

Qui détestez-vous le plus préféré Monsieur Hégésippe Cormier ?
Ceux qui par leur bêtise ou leur veulerie politique ont hypothéqué l’avenir de notre civilisation. Les menteurs. Les hypocrites.Parmi les «personnalités» politiques les plus détestables à mon sens, le tiercé gagnant est Philippe Moureaux, Laurette Onkelinx et Jean Cornil (par hasard tous trois socialistes).

Quel est selon vous le fait historique le plus remarquable préféré Monsieur Hégésippe Cormier ?
La Reconquista

Quelle musique préférez-vous préféré Monsieur Hégésippe Cormier ?
Le Hard Rock symphonique finlandais que me propose régulièrement à l’écoute mon grand ami Clem23 notamment Apocalyptica, Nightwish et Stratovarius. Tout comme mon ami Thierry Olmec je déteste les musiques du monde arabe. Vous entendez ce que je veux dire par là ?

Quel est votre auteur préféré ?
Victor Hugo et Louis-Ferdinand Céline

Quel est votre peintre préféré ?
Turner, Jerôme Bosch, Adolf,…

Quel est votre plat préféré ?
La choucroute garnie (bien garnie !) et du pinard !

Quelle est votre devise ?
Le Nationalisme murcien possède plein de citations diverses en langue romane…Vous voyez ce que je veux dire. Jean-Noël Lafargue m’appelle le Lama Fâché. Je trouve que cela me va bien.